La rue de la Tête-perdue

n°176 / 178
1938
Invention pure
RESUME

       Petit événement à Harcester, bourgade du centre de l'Angleterre : les dames Slowby et Wood, qui ne reçoivent jamais quiconque, accueillent un mystérieux visiteur avec qui elles passent la soirée. Le lendemain, leur bonne, Sarah Fleggs, tenue loin des débats, a l'effroyable surprise de constater leur disparition... Dessiné sur la nappe, un curieux pictogramme que l'archiviste local, Abe Niggins, identifie comme le symbole de l'antique cité de Babylone. Harry Dickson surgit bientôt : on a retrouvé peu après, à Londres, dans la cave du repaire d'une bande de faux-monnayeurs, suicidés avant l'arrivée de la police, les cadavres des deux vieilles filles. A leur cou, la marque d'une monstrueuse strangulation, de toute évidence non humaine. Coïncidence ! le mur de cette cave porte aussi le symbole babylonien... Toute l'affaire semble bientôt tourner autour de cette sombre rue de Harcester qu'on nomme rue de la Tête-perdue, à cause d'une statue décapitée qu'elle abrite. Mais y a-t-il autre chose dans cette rue qu'une maison de rendez-vous ? et si elle était le théâtre d'un culte innomable ?

A LIRE DANS

  • Harry Dickson, tome 1, Marabout (Verviers - 1966)
  • Harry Dickson, l'intégrale, tome 20, NéO (Paris - 1986)

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