Les vingt-quatre heures prodigieuses, suivi de
Le whisky de Monsieur Bitterstone

n°161 / 178
1937
Invention pure
RESUME

LES VINGT-QUATRE HEURES PRODIGIEUSES

       En 1908, le commandant Wellborn est chargé de retrouver Lady Bradmore, portée disparue à la suite du violent tremblement de terre qui dévasta la ville sicilienne de Messine. Son cadavre, finalement retrouvé dans les décombres de son opulente villa, se volatilisera pourtant peu après, non sans qu'un aigrefin connu sous le sobriquet de Barbon-la-Douceur n'ait été aperçu dans le secteur... Des années plus tard, Wellborn coule une retraite paisible dans les environs de Dulwich. Alors qu'il rentre chez lui, il a la surprise d'apercevoir, à la fenêtre d'une maison, le visage de Lady Bradmore. Impossible de s'y méprendre : cette affaire, qui lui a valu de nombreux ennuis avec les services secrets, est encore bien présente dans sa mémoire. Il vient donc naturellement consulter Harry Dickson, qui flaire là un appétissant mystère et va aussitôt se renseigner sur le dossier auprès du capitaine Nicholls, fonctionnaire de Downing Street. Mal lui en prend : s'il acquiert la certitude que l'affaire est plus complexe qu'il ne paraît, il a la surprise de recevoir la visite d'un nain qui lui conseille amicalement de ne pas se mêler de l'affaire, où son élève Tom Wills et Wellborn, retenus en otages, en pâtiront... Ce que les adversaires de Dickson ignorent, c'est que pour les besoins d'une autre affaire, un sosie avait pris la place de Tom Wills : Jim l'Evadé, un escapologiste de premier plan... Qu'est-ce qui se cache derrière la réapparition de Lady Bradmore ? Et pourquoi veut-on à tout prix tenir Harry Dickson à l'écart de cette affaire ? Cette affaire hors du commun trouvera son dénouement en vingt-quatre heures...

LE WHISKY DE MONSIEUR BITTERSTONE

       Harry Dickson relate une enquête singulière de laquelle il a été davantage spectateur qu'acteur. Monsieur Bitterstone, que nous qualifierons par l'euphémisme économe, ne supporte pas qu'un inconnu pénètre chez lui pour boire son whisky, certains soirs où il profite des billets de spectacles gratuits que lui envoie un bienfaiteur anonyme. Une nuit, il décide de droguer le contenu de sa bouteille pour confondre le voleur... Mais terrorisé, il n'ose rentrer chez lui. Une seule solution : aller trouver la police. Le superintendant Goodfield, à qui il s'ouvre de son problème, écume de se voir déranger pour une affaire aussi ridicule. Mais Harry Dickson, qui se trouve dans le bureau au même moment, y voit peut-être un rapport avec les meurtres de l'express Liverpool-Londres, sur lesquels il enquête justement. Monsieur Bitterstone aurait-il malgré lui secondé le grand détective ?

A LIRE DANS

  • Harry Dickson, tome 8, Marabout (Verviers - 1968)
  • Harry Dickson, l'intégrale, tome 18, NéO (Paris - 1986)
  • Fac-similés Harry Dickson, coffret 2, Dargaud (Paris - 1986)

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