Au secours de la France

n°66 / 178
1932
Invention pure
RESUME

       Harry Dickson et Tom Wills sont appelés, à Paris, par Mr Livois, le chef de la Sûreté. C'est que, depuis plus d'un mois, des vols spectaculaires sont commis. Des bijouteries, des banques, des cathédrales, des musées sont pillés par des bandits qui s'éclipsent comme des fantômes et peuvent opérer dans plusieurs villes au même moment. Dans le train qui les amène, Dickson et Wills sont capturés par des malfaiteurs, originaires d'Allemagne, mais ils sont rapidement libérés par des mains anonymes. Un certain Olive Escartefigue, une gloire de la police privée marseillaise, force la porte de Mr Livois pour offrir son aide à la justice et son enthousiasme est un véritable baume pour le moral des enquêteurs exténués. La France dispose d'un autre allié, inconnu celui-ci, appelé le Vengeur, auquel on doit l'arrestation de plusieurs espions. Est-ce à ce Vengeur que les détectives britanniques doivent leur liberté ? La prochaine cible des bandits pourrait être l'or de la Banque de France. Aussi Dickson et Wills s'adjoignent-ils les services de M. Escartefigue, dont la bravoure étincelle loin du combat, mais qui tremble de plus en plus à l'approche de la bataille. Des événements bizarres se produisent dans les profondeurs de la banque, mais nulle trace, comme telle, des cambrioleurs, ce qui ne semble pas tellement surprendre Harry Dickson. Pourquoi ? Quelques jours plus tard, Mr Escartefigue est porté manquant, mais on ne sait trop comment interpréter cette disparition, parce que le sang trouvé dans son appartement n'est pas le sien. M. Escartefigue est-il mort ? A-t-il été enlevé ? S'est-il enfui ? Qui est le mystérieux Vengeur ? Quelle oeuvre de justice poursuit-il en se dressant contre les malfaiteurs qui terrorisent la France ? Nous l'apprendrons dans ce récit.

© Jean PELLETIER

A LIRE DANS

  • Harry Dickson, tome 15, Marabout (Verviers - 1974)

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